Pour une petite ou une longue histoire

John Dowland - Lachrimae or seven tears / Hespérion XX

C’est dingue le nombre de gens que je rencontre en ce moment. Tous cela pour le boulot. Evidemment je ne peux rien dire ici, ou plutôt je choisis de ne rien dire ici. Enfin, plus ça va plus je me trouve absolument extraordinaire au sens propre du terme. La plupart de des gens que je côtoie, qui évoluent dans de hautes sphères du la communication ou du marketing ne sont en fait que de pauvres abrutis capable de croire tout et n’importe quoi.

De préférence n’importe quoi. C’est plutôt bon pour moi tous ça.

Je suis passé, en bus, devant la boutique de l’homme aux yeux verts. Ca m’a fait du bien de le voir derrière son comptoir. Il est allez chez le coiffeur.

C’est comme un tableau familier, une image qui réchauffe le coeur quand on la regarde. Une madeleine ?

Le pauvre s’il savait que je le compare à une madeleine.

Je me suis noyé dans le travail pour éviter de le voir, d’être obsédé par lui. Mais j’y reviens toujours. Il va falloir que j’affronte cette épreuve.

Et mon psy qui n’est pas là.

Les commentaires sont fermés.


blogCloud